L’histoire du violoncelle remonte à la création du violon, au XVIe siècle. Il était similaire à l’actuel, bien que sa taille soit plus grande. En raison de modifications constantes, sa popularité a été lente. De plus, comme il ressemblait au violon, son acceptation n’a pas été bien accueillie au début. Son concurrent direct à l’origine était la viole de gambe. Même certains musiciens ne voulaient pas utiliser le violoncelle et écrivaient des partitions spéciales uniquement pour la viole de gambe.
Mais c’est au XVIIe siècle qu’il a dépassé la viole de gambe et s’est imposé comme un instrument de base dans les orchestres. Au XIXe siècle, il était déjà à son apogée et de grands musiciens tels que Brahms, Dvorák et Saint-Saëns l’utilisaient beaucoup dans leurs œuvres les plus ostentatoires.
Au XXe siècle, les femmes violoncellistes ont commencé à apparaître plus fréquemment, car auparavant il était considéré comme inconvenant pour une femme d’en jouer, en raison de la position de l’instrument de musique entre les jambes.
Parties du violoncelle
Le violoncelle associé à un Micro dpa est devenu l’un des instruments les plus populaires et aujourd’hui, il est même utilisé dans le style cuivré. Maintenant, voyons la composition d’un violoncelle.
En pratique, les parties du violoncelle sont les mêmes que celles du violon. La différence est que cet instrument est beaucoup plus grand. Il est composé d’une table d’harmonie constituée d’un fond, d’une table et de côtés. Il a une forme convexe et sa courbe est esthétiquement élégante.
Sur le dessus de la table d’harmonie se trouvent les ouïes, ou « ff », qui sont des trous ayant cette forme sur chacun de ses côtés. Vous pouvez également voir le cordier, dont la fonction est de retenir les cordes et entre les éphèbes, le chevalet, qui maintient les cordes en l’air.
À l’intérieur de la boîte se trouvent la barre harmonique et l’âme, toutes deux responsables du son final du violoncelle. Comme le violon n’a pas de frettes, la touche se termine dans le chevillier. Entre les deux se trouve le tronc, celui-ci reçoit les cordes à enrouler et à tendre par les quatre chevilles du chevillier. Ce dernier a une terminaison en forme d’escargot appelée volute.
L’archet du violoncelle est constitué de crins qui sont fixés et tendus sur une pièce de bois en forme de tige. Cette pièce est en Pernambouc. L’archet du violoncelle est plus épais et plus court que celui du violon.
Comment jouez-vous du violoncelle ?
Pour jouer correctement du violoncelle, la position correcte est de s’asseoir et de soutenir l’instrument entre les genoux et sur une cheville rétractable. La poignée doit être tenue avec la main gauche et avec la main droite faire glisser l’arc. Le cou doit toujours être à la gauche de la nuque.
Une autre façon de le jouer est avec le bout des doigts, cette technique est connue sous le nom de pizzicato. En ce qui concerne la première façon, tout en faisant glisser l’archet, les doigts de la main gauche doivent appuyer sur les cordes pour produire différents tons.
Technique de la main gauche
Il existe des techniques pour la main droite et la main gauche. Dans le cas de la main gauche, certaines techniques sont : les harmoniques, qui sont produites en touchant la corde avec le doigt, le vibrato, qui est un mouvement ondulatoire spontané de la main gauche qui donne de l’expressivité à la note jouée, le glissando, qui est un changement de position d’un doigt que l’on maintient appuyé tout en faisant glisser l’archet. Ce qui permet de jouer toutes les notes entre l’initiale et la finale.
Technique de la main droite
Les techniques de la main droite comprennent le col legno, qui consiste à frotter les cordes avec le bois de l’archet, le détaché, qui consiste à déplacer l’archet tout en jouant une seule note (si la note est changée, l’archet ne bouge pas), les doubles cordes, qui consistent à faire glisser l’archet sur deux cordes en même temps, réalisant ainsi la polyphonie, le legato, qui consiste à jouer différentes notes en un seul glissement de l’archet, le pizzicato, en pinçant les cordes avec les doigts, spiccato, en faisant de petits sauts avec l’archet tout en passant sur les cordes, staccato, en appuyant uniformément sur la corde pendant la note, sul tasto, en faisant glisser l’archet le plus loin du chevalet et sul ponticello, en faisant passer l’archet le plus près possible du chevalet.